L’ÉCRITOIRE [MG] ET DANIELLEA2L

[Sur la page blanche]
Ciel bleu, ciel noir, ciel nuit
[Elle écrit, elle se penche]
Sème l’amour, l’amitié et la peur qu’elle fuit.
[... ... Sa plume l emmène]
Comme elle lit un nouveau livre
[Et les mots l entraîne]
La saoule, la grise et l’enivre
[Dans leur course vagabonde]
S’écoulent, gazouillent, vibrent de bonne foi
[Farandole autour du monde.…]
Éternel destin de rage et de joie.

[Sur la page blanche]
Ciel heureux ou ciel pluvieux
[Elle écrit, elle s épanche]
De ses cris, de ses rires généreux
[Et les maux s effacent]
Calme sa conscience et renaît
[Petites bulles dans l espace]
Sombre infini pour chasser le mauvais
[Douces bulles de lumière]
De liberté, de pensée, de rêver
[Aux mille éclats de poussière…]
D’amour de passion édulcorée.

[Sur la page blanche]
Toile de jute ou de dentelle
[Elle compose, elle s’invite]
Se cache, monte sur le devant de la scène
[Artiste ou illusionniste]
Saltimbanque que les mots élèvent
[Elle écrit, elle s épanche...]
….Inonde les pages blanches.
[MG] DanielleA2L

Cet article a été posté dans *poésie et taggé #MG, #écritoire, #farandole, #pageblanche, ღ 454 le 21 octobre 2011


JE SUIS EN BAS, I’M DAWN

J’écoute Yvalain et Sean Wright un tube seventies dans la musique affranchie,
Moi je ne suis pas poète, ils me soufflent des mots magiques blanchis.
Les paroles anglaises je ne pourrais jamais en comprendre les fibres indéfinies.
Je deviens fleur, dans un ciel bleu et mon âme, son meilleur public averti.

Un frère, une sœur, et pour une mère mon cœur se fait bonheur béni,
Amitié d’adolescente des « peace » toujours et des loves pas encore fini,
Tout m’apparaît vivant des revenants de dentelles et d’ivresse fumée rajeunit
Et tes mains nues se posent sur ce corps rose étrangement pressentie.

Je vis ta vie et tes années se colportent dans la mienne évanouie,
Patrie de bohème et de philosophie plus d’entrave, c’est inouï,
La flûte et la guitare signe de liberté frappent encore à mes oublis,
Pourquoi se poser tant de questions sur le temps qui mange la vie ?

Nouveau printemps, nouvelles fleurs et je rêve de mauvais sort ennemi,
Ainsi languissant de colle sur une chaise pour celle jalouse qui m’ennuie
Sourire sarcastique, j’affronte les mauvaises âmes sans être punie,
Mais jamais en croisant les doigts dans le dos, je ne ferais mal à autrui.

Cet article a été posté dans *Poésie et taggé #jesuisenbas, #Yvalain, #I'mdawn, ღ 687 le 13 mars 2011